Ex-professionnel de la détection depuis 1978 (35 ans d’expérience), désormais retraité et ayant beaucoup de temps libre..., je peux maintenant aider en donnant des conseils de recherche par téléphone, ou même occasionnellement (seulement) et s'il n'y a pas d'autres possibilités, je pourrais éventuellement me déplacer pour une recherche sur place (en banlieue Est de Paris uniquement) chez un propriétaire sur le point de vendre sa maison ancienne et qui voudrait être certain, qu'elle ne contient pas de "magots" cachés... 

Les "trésors" sont beaucoup nombreux qu'on ne le pense généralement, d'ailleurs l'actualité nous rappelle qu'un certain nombre de trésors (ou plutôt "magots") sont découverts à l'occasion de travaux et étaient totalement insoupçonnés des propriétaires..., notamment dans les maisons anciennes. 

Au printemps 1979, j’ai ouvert le premier magasin de détection "indépendant" de France (à ma connaissance). Voici d'ailleurs ci-dessous, mon magasin qui était situé au 6 rue de Châteaudun, Paris 9e.

A cette adresse, j’ai été vendeur de détecteurs, importateur et aussi fabricant d’appareils de détection. Je proposais également à l’époque une recherche de biens chez les particuliers (avec contrat).

Le terme "trésor" employé dans le titre de cet article est simplement un terme que tout le monde connaît.

Il n'y a pas que dans les châteaux ou les belles demeures qu'on trouve des trésors. En effet, les trésors se trouvent partout, même dans les plus modestes logis, comme dans la très vieille masure ci-dessous, située dans une petite vallée en bordure d'un bois, où une cache de la taille d'une boîte de chaussure a été découverte, mais vide ! 

Voici ci-dessous, quelques cas de découvertes "originales" de trésors (sans confirmation, sauf pour le premier) : 

- Dernièrement, le Journal "La Dépêche" d'Evreux du 18 novembre 2016, révèle qu'un héritier qui vidait la maison d'un parent décédé pour la vendre, découvre pas moins de 100 kg d'or, composés de deux barres de 12 kg, de 37 lingots de 1 kg, et de 5000 pièces d'or, d'une valeur totale de 3,5 millions d'euros, répartis dans différentes cachettes de la demeure ! !

- Un jeune homme encore étudiant à l'époque, lors d'une grande réunion familiale, demanda à son oncle (devant toute la famille), l'autorisation de chercher un "éventuel" trésor dans la cave de la maison (datant du 17e siècle) que celui-ci s'apprêtait à vendre. L'oncle s'étant esclaffé de rire (ainsi que toute la famille...) de cette si étrange question, lui accorda le droit de chercher un trésor, pendant le week-end suivant, juste avant la vente de la maison...

N'ayant pas de détecteur de métaux, le jeune homme se munit d'une pelle et d'une pioche et se mit en devoir de retourner le sol en terre battue de trois ou quatre caves, pendant toute la journée du samedi, pour rien. Pas découragé, il reprit courageusement la tâche le dimanche matin. Finalement, le dimanche en fin d'après-midi, le jeune homme mit la main sur un "assez gros" trésor en or (sans autre précision) enfoui dans le sol de la dernière cave voûtée de la vieille bâtisse !

Du coup, comme son oncle lui avait dit (devant toute la famille) qu'il pourrait conserver un trésor, s'il en trouvait un..., il put le conserver en entier ! !      

- Un monsieur reçut l'autorisation de faire des recherches dans une maison datant du 18 e siècle avec des caves voûtées en pierre. Il se mit immédiatement à la tâche. Il disposait d'un détecteur de métaux et d'un dowser Sensirod. Après n'avoir rien trouvé avec son détecteur, il mit alors en fonction le Sensirod dans l'une des caves. L'appareil lui indiqua très rapidemment une zone assez précise sur l'un des murs. Mais ne sachant pas où se trouvait réellement la cible, entre le sol et le mur, il sortit son détecteur de métaux et le passa d'abord sur le sol au pied du mur, puis sur le mur. Or, sur l'une des pierres, l'appareil se mit à sonner furieusement... Avec bien du mal, il finit par extraire la pierre en question, et à ce moment, un flot de monnaies en or se déversa à ses pieds (car le coffre en bois avait dû pourrir)... Au total : 50 000 pièces d'or ! !  

- Un monsieur achète un bois dans la région parisienne. Comme il possédait un détecteur de métaux, il utilise ses week-end à passer sa "poële-à-frire" sur son terrain. Or, dans une clairière, il commence à trouver des monnaies de différentes époques, puis plus tard, encore mieux, deux ou trois bourses de monnaies ! Encouragé et très étonné par ces découvertes, il continue à prospecter son terrain consciencieusement, et un beau matin il finit par tomber sur trois coffres (ou malles de voyage d'assez grande taille) et très lourds enfouis de plus très peu profond... (C'est ce qu'on appelle une cache d'urgence).

A l'ouverture, grosse surprise : deux étaient rempli de monnaies en or et le troisième "d'autres choses"... (sans précision).

(Information rapportée de mémoire, parue sur un ancien magazine de détection).

- Un couple déjà plutôt aisé, s'achète une belle villa comme résidence secondaire dans le Sud-Ouest de la France, avec vue sur mer. Mais la cuisine est curieusement partagée par un mur en briquettes faisant office de repose-plats. L'épouse du monsieur, gênée par ce muret en plein milieu de sa cuisine, demande à son mari de lui enlever. Il commence alors à le démolir consciencieusement et là, énorme surprise : La partie centrale du mur est remplie de lingots d'or ! !

En réalité, les propriétaires de biens immobiliers (même modestes) n'imaginent absolument pas qu'il peuvent dormir sur un "magot" enfoui depuis parfois plusieurs générations, dans leur maison ou leur jardin et que personne n'est venu chercher...  

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Assez souvent, les personnes qui possèdent une propriété ancienne choisissent, en premier lieu, de louer un détecteur de métaux pour tenter de retrouver le "magot" familial par eux-mêmes...

Hélas, dans une grande majorité des cas, ils n’y arrivent pas ! !

La raison en est, qu’en un seul week-end, voire même en une semaine entière de location d'un détecteur, ils n’ont pas le temps de maîtriser toutes les subtilités de l’appareil, surtout si c’est un  "haut de gamme" ! En effet, il faut une expérience de plusieurs mois, voire de plusieurs années, pour affirmer se servir comme un pro d’un détecteur de métaux, car les pièges dans le sol et les murs d'une maison sont nombreux, tous les professionnels sérieux vous le confirmeront !

Lorsqu’ils ont échoué dans leurs recherches, ils font alors appel à un professionnel, lequel est généralement rémunéré en pourcentage sur la future découverte (suivant accord préalable).

Finalement, ils préfèrent rémunérer une tierce personne d’une part du "dépôt" que de ne rien avoir du tout…!

- Il arrive aussi évidemment, que les personnes choisissent de contacter immédiatement un professionnel, car la tâche leur paraît trop difficile ou au-dessus de leurs moyens physiques (ou autres). 

Quelquefois pour les recherches, il peut être nécessaire d’utiliser du matériel "spécial" ou "peu courant" pour la détection, que tout le monde ne possède pas ! 

Voici ci-dessous, pour l’exemple, une sonde de détection discriminatrice (faisant la différence entre les métaux ferreux et non-ferreux) dotée d’une tige de plus d'un mètre de long, que je possède et qui n’aurait jamais été importée en France (à ma connaissance).

Cet appareil extraordinaire est capable (sans ouvrir le sol) de savoir si on a affaire en profondeur, à du métal ferreux ou non-ferreux (comme l'or ou l'argent).

L'appareil est ici en position de travail, avec sa sonde à gauche et sa tige métallique en partie plongées dans le sol :

Pour ces recherches, hormis une bonne expérience de terrain, du matériel de détection classique "haut de gamme" comme l'appareil ci-dessous est utilisé :

Ci-dessous, un dowser Sensirod haut de gamme :

Le Sensirod Pro D

 (avec poignées interchangeables : une pour cibles de "toutes tailles", y compris les petites et une pour "grosses cibles" uniquement) 

Je dispose également d'un modèle spécial or, le Sensirod 3000 D. Ce dowser comporte en fait une vraie pièce d'or collée au fond de la "chambre témoin".

Les grands spécialistes de la radiesthésie du passé (dont l'Abbé Mermet) nous ont enseigné que l'or est "l'un des métaux" dont la "rémanence" est la plus forte; c'est-à-dire, qu'il "imprègne atomiquement" l'environnement immédiat. De sorte que (d'un point de vue radiesthésique) l'appareil aurait une "tendance naturelle" à s'orienter plutôt vers ce type de métal, que sur d'autres.   

Ci-dessous l'appareil en question :

Le dowser Sensirod 3000 D

A ma connaissance (mais sans confirmation), l'un des plus gros trésors découverts en France, l'aurait été grâce à un dowser Sensirod...

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N'étant plus en activité depuis un certain temps, je peux maintenant céder le "droit commercial" pour la fabrication et la vente de mes Sensirod, soit :

- Le Sensirod 2000, "polyvalent", avec chambre-témoin et un container "d'Aventurine" dans la poignée. 

- le Sensirod 3000 "spécial-or", contient une pièce d'or dans sa chambre-témoin et un container "d'Aventurine" dans la poignée. Il détecte les petites et grosses masses.

- le Sensirod 3000 D "spécial-or" (détecte les grosses masses uniquement). Il discrimine les petites masses comme les clous, capsules de bouteilles, tirants de canettes, cartouches, etc.). C'est le premier et le seul dowser au monde (à ma connaissance) à avoir introduit, dans ce type d'appareils, une "discrimination par la masse" (ou surface) des objets enfouis dans le sol depuis 1985. Il comporte aussi un container d'Aventurine dans la poignée.

- Le Sensirod Pro "spécial-or", avec deux poignées interchangeables, pour toutes conditions rencontrées sur le terrain.

Nota: "L'Aventurine", selon les Anciens favoriserait la recherche de l'or et des trésors. Les Incas l'utilisaient plus particulièrement pour la recherche de l'or natif. 

Les personnes intéressées pour reprendre l'affaire peuvent me contacter au n° de téléphone ci-dessus.

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